L’agriculture porte un très grand intérêt autant pour moi que pour tout le Nouveau Front Populaire. Je suis actuellement conseillère municipale à Saint-Quentin, M. Calon et moi portons les questions de protection de l’environnement, de l’agriculture, et des paysans à chaque occasion !
Le programme du Nouveau Front Populaire pour l’agriculture a une ambitions d’apaisement et de construction. Ce programme prend en compte la place de la nature, de l’écologie et de tous les producteurs du pays. Nous tenons d’ailleurs a refuser les contraintes autoritaires du pacte budgétaire de l’Union Européenne et proposer une réforme de la PAC en concertation avec tous les acteurs. Nous avons avec nous le soutien d’une grande partie de la société civile et des syndicats, ce qui permet un dialogue constructif.
Conscients des enjeux sur le plan économique et écologique du territoire, comme du pays, nous feront mettre en place un diagnostic des ressources naturelles avant des implantations industrielles.
Nous avons pour ambition de conserver la biodiversité, indispensable pour la survie de tout le vivant (dont les Hommes) défendre donc les zones agricoles et les zones humides naturelles, ainsi que de protéger les forêts et la diversité des essences.
Nous soutenons l’agriculture écologique et paysanne. Nous proposons d’annuler l’accord économique entre l’UE et le Canada en renonçant à l’accord de Mercosur pour mieux protéger les agriculteurs de la concurrence déloyale.
Pour des questions de santé et de respect des terres, nous rétablirons le plan Ecophyto et nous interdirons le glyphosate et les néonicotinoïdes avec un accompagnement financier pour les paysans qui sont concernés.
Sans oublier l’aspect syndical autour du droit des travailleurs du secteur, qui ont été maltraités par le gouvernement actuel.
Nous souhaitons que les normes sociales et environnementales soient respectées pour toute implantation de production agricole. Dans la continuité nous voulons soutenir et préserver le modèle agricole familial et donc lutter contre l’accaparement des terres.
Bien entendu soutenir la filière du bio et de l’agro-écologie en soutenant la conversion en bio des exploitations (par exemple en reprenant les dettes par une caisse nationale). Nous garantirons que la production bio trouve des débouchés, en particulier dans la restauration collective.